C’est cet Être qui est mis à l’honneur dans les pages de la Fac de l’Être mais aussi contre toute attente, dans sa suite consacrée au Bon Argent dont je dis qu’il prend sa source dans l’Être tant il sollicite le cœur et l’esprit.
Le premier tome de l’ouvrage est une invitation au « Va vers toi » par la Fac de l’Être. Les premières pages expliquent le comment du pourquoi de mon témoignage en passant par le pour qui ? Quelques mots aussi sur le titre décliné au futur « Quand la conscience de soi s’éveillera », petit clin d’œil à l’ouvrage d’un certain Peyrefitte au sujet de l’éveil de la Chine. « Quand la Chine s’éveillera » je le rappelle. Espérons que ce qui se vérifie aujourd’hui avec la Chine se vérifiera tout autant pour la Conscience de Soi, de notre véritable nature d’être humain élevée à sa dimension d’Être.
Avant d’entrer dans le vif du sujet, une question fondamentale, suivie de quelques précautions quant au fond et à la forme.
Une question tout d’abord posée à la personne en quête de sens de la vie et de sa vie … Que veut-elle exactement et qu’est-elle prête à consentir ? Autrement dit, accepte-t-elle de se donner les moyens de trouver le sens recherché d’abord en elle pour ensuite l’incarner à l’extérieur ? Car il ne suffit pas d’être acteur ou actrice dans le monde. Faut-il encore l’être tout autant voire plus dans l’au-dedans. C’est alors que la Fac de l’Être peut se révéler utile et sûrement efficace.
L’Être est exigeant. Il n’est pas là pour caresser dans le sens du poil la petite personne mais que de récompenses à la clé pour celle ou celui qui se trouve, trouvant par là-même le sens de sa vie, le sens de la Vie.
Qui cherche trouve, je peux en témoigner mais une condition à cela … celle de chercher dans une grande sincérité et d’honnêteté vis-à-vis de soi afin d’écarter le risque de ne pas trouver.
Et pour terminer cette présentation, je laisse la parole précisément à la conscience, conscience tout court et conscience de soi …